Rien de plus normal et de plus sain que de chercher à manger équilibré dans un monde où tout nous pousse à consommer toujours plus de mauvais aliment.

Seulement, manger équilibré est-ce vraiment l’idéal pour mieux manger ? Est-ce vraiment ce qu’il faut faire pour trouver un équilibre alimentaire et se nourrir du mieux qu’on le peut ?

Que veut dire manger équilibré ?

Manger équilibré est-ce vraiment l'idéal pour mieux manger ?

Quand on cherche à manger équilibré, on peut entendre tout un tas de choses à ce sujet. Manger équilibrer voudrait dire normalement avoir un bon équilibre entre les glucides, les lipides, les protéines et les micronutriments.

Autrement dit, si on suit ce principe, qui est un principe de base pour manger équilibré, notre assiette doit donc être composée de sucres, qui sont les glucides, de graisse, qui sont les lipides, d’une portion de protéine, que l’on trouve dans la viande ou dans les végétaux et de fruits et légumes, qui vont apporter les micronutriments.

Ce modèle, on peut dire que c’est la base pour manger équilibré, mais il est tout à fait possible d’être en parfaite santé sans pour autant manger de cette manière.

Dans le cursus d’apprentissage normal, c’est-à-dire pour les personnes qui apprennent à être nutritionniste, à être diététicien, et tout ces genres de métier où les formations sont directement organiser et données par l’État, apprennent de cette manière. En mangeant comme ça, trois ou quatre fois par jour pour trouver un équilibre alimentaire.

Le problème avec ces organismes, c’est qu’ils sont directement influencés par des lobbyistes qui finissent par prendre le contrôle de ce qui doit être appris et ce qui ne doit pas l’être.

Se rapprocher d’un nutritionniste ou diététicien pour manger équilibré ?

Par exemple, un nutritionniste ou un diététicien peut recommander à une personne de manger des biscottes, le matin ou le midi, manger des yaourts, en fin de repas par exemple.

Alors que la plupart des biscottes sont des produits transformés, rempli de sucre et qui font exploser la glycémie. Ils peuvent aussi par exemple recommander des yaourts, pour un bon apport en calcium.

On leur a appris aussi que l’on devait manger des yaourts pour manger équilibré, parce que les lobbies qui sont derrière les centres de formation, influencent ce que les étudiants apprennent. Manger trois à quatre produits laitiers par jour, c’est seulement de la propagande.

Les produits laitiers font parti de l’équilibre alimentaire ?

Il est prouvé maintenant très clairement que plus on prend des produits laitiers, moins on est en bonne santé. Pourtant ça n’empêche pas certains nutritionnistes ou diététicien d’en vanter les mérites, parce qu’on leur a appris qu’il en fallait dans leur cursus d’apprentissage. Un cursus d’apprentissage qui est lui-même influencé par ceux qui vendent les produits laitiers.

Ces organismes ont tellement d’argent, qu’ils ont la capacité grâce à l’argent d’influencer les messages de santé publique, que ce soit à la pub ou dans les formations et qui permettent aux étudiants d’être formé en nutrition, autrement dit, ils usent du lobbying.

La vérité est que plus on prend des produits laitiers et plus on est en mauvaise santé. D’une part parce que les produits laitiers industriels sont remplis de produits, tels que les antibiotiques, les vaccins ou encore d’autres qui sont administrés aux animaux produisant le lait, mais qu’en plus le lait est simplement destinée aux bébés.

Le lait permet de se nourrir tant qu’on n’a pas la dentition pour pouvoir mâcher et croquer des aliments, mais une fois qu’on a la dentition, que l’on a la capacité de croquer et de mâcher, les enzymes capables de digérer le lait ne sont plus actives dans notre corps. De cette manière on n’est plus censé consommer de lait et encore moins pour manger équilibré.

Suivre les recommandations des « professionnels » de santé pour manger équilibré ?

Le plus fou dans tout ça, c’est qu’on ne peut pas faire confiance à des organismes de santé « professionnels » parce qu’ils sont influençables par tout un tas de lobbies. Pour le diététicien ou le nutritionniste qui finit ses études, la seule capacité qu’il a d’apporter une réelle santé par l’alimentation, c’est d’aller continuer son apprentissage par lui-même. De continuer de se former après ses études pour ne pas rester dans une sorte de formatage qu’il aura subi pendant tout son processus de formation.

Quand on voit par exemple aujourd’hui que certains organismes se permettent même de dire qu’il est plus hygiéniste et mieux pour le bébé humain de lui donner du lait en poudre de vache et que donner le sein de la maman n’est pas le mieux, c’est à quel point l’idiotie et les groupes d’influences qu’on appelle des lobbies, sont puissants.

Manger équilibré permet d’avoir une base

En vrai, manger équilibré ça ne veut un petit peu rien dire. Ça permet simplement d’avoir une base sur laquelle se reposer pour pouvoir constituer nos repas.

Il est tout à fait possible d’être en parfaite santé et de manger par exemple le midi seulement un jus de légumes ou encore seulement quelques fruits, quelques amandes, quelques noix de cajou, qui dans la plupart des cas seront bien meilleures pour avoir une meilleure énergie dans l’après-midi, qu’un repas complet qu’on va appeler équilibré.

Puisque dans la plupart des cas, manger nous demande de l’énergie et même que ce plat soit équilibré, il demandera toujours une certaine énergie au corps pour pouvoir être ensuite digéré et assimilé, c’est ce qui va faire qu’on peut avoir un coup de fatigue d’ailleurs après un repas.

Tandis que quand on mange des aliments simples mais concentrés en énergie, comme des fruits frais ou sec, comme des jus, comme des smoothies, la concentration en énergie sera bien plus importante. La digestion sera également bien plus facile, ce qui peut vraiment être l’idéal quand on veut avoir de l’énergie par exemple l’après-midi.

Faire le test de manger équilibré ou pas

On peut faire le test, en mangeant à midi pendant un jour de la semaine, un repas qu’on appelle équilibré. Imaginons donc que l’on ait une portion de pommes de terre qui vont être les glucides, une portion de légumes pour les micronutriments avec un filet d’huile d’olive pour les lipides et un morceau de poisson pour les protéines.

On mange ce repas et on voit comment on se sent après dans l’après-midi

Ensuite, un autre jour de la semaine, on se fait simplement soit quelques fruits, soit un smoothie, soit un jus de légumes, soit quelques oléagineux comme des amandes, des noix de cajou, des noix du Brésil et on voit comment on se sent également cet après-midi-là.

Bien sûr, tout ça dépend également de ce qu’on fait dans la journée, ça dépend aussi de notre capital santé, ça dépend aussi si l’on fait du sport, est-ce que c’est du sport intensif ou par exemple simplement de la marche.

Ça dépend de plein de facteurs différents, mais manger équilibré en tant que tel, ça ne veut un petit peu rien dire.

Le corps n’est pas une machine ?

Si demain on est lâché en pleine nature et que le seul moyen de pouvoir se nourrir, c’est de manger ce qu’on trouve dans la nature, on n’arrivera jamais à faire un équilibre alimentaire dans ce que l’on mange. Pourtant ça ne va pas nous empêcher d’être en bonne santé.

On a plus ou moins une vision qui est complètement biaisé dans la façon dont on doit s’alimenter, puisqu’on nous a toujours appris à manger trois ou quatre fois par jour et ça depuis que nous sommes tout petits.

Mais la réalité des choses, c’est que notre corps n’est pas forcément fait pour manger à des heures fixes. On vit dans une société où on a la capacité d’avoir de la nourriture en abondance et donc si on le veut, on peut manger seulement quand on a faim, ce qui est bien plus intéressant au niveau physiologique pour le corps.

Puisqu’il nous arrive très souvent de manger alors qu’on n’a pas forcément faim, pourtant la faim est le signal que le corps envoie pour nous dire qu’il faut qu’on mange. On mange aujourd’hui plus par plaisir que par besoin, plus pour nous satisfaire dans l’instant présent, que de nous apporter de l’énergie pour pouvoir faire ce qu’on a à faire.

Manger équilibré ça pourrait marcher si on serait des robots et qu’il nous faudrait toujours les mêmes quantités pour fonctionner.

Ce qui n’est pas le cas puisque différents facteurs influencent nos besoins nutritionnels, que ce soit la température qu’il fait dehors, notre capital santé, nos besoins en terme d’énergie, si par exemple on va faire du sport dans la journée ou pas, notre poids et plusieurs autres facteurs comme cela.

Le ratio pour manger équilibré

Dans la plupart des cas, quand on demande à quelqu’un comment manger équilibré et qu’il s’y connaît un minimum en alimentation, il va nous dire qu’il faut un ratio entre glucides, protéine, lipides et micronutriments.

Seulement, imaginons que l’on passe la journée assis par exemple, et que du coup on ne dépense pas forcément beaucoup d’énergie, on n’aura pas de réel intérêt à manger équilibré de cette façon en mangeant autant de glucides, autant de protéines, de lipides et de micronutriments.

C’est pour cela que pour moi, manger équilibré, c’est clair que ça permet d’avoir une base, mais encore une fois, nous ne sommes pas des robots, nos besoins sont différents suivant plusieurs factures.

Imaginons qu’on a une personne qui a un organisme qui est encrassé, on peut lui dire de manger équilibré, de manger sa portion de glucides, sa portion de protéines, sa portion de lipides et sa portion de micronutriments, si son organisme est encrassé, ce n’est pas ça qui va lui permettre d’être en meilleure santé.

Mais c’est surtout apprendre à écouter son corps, écouter ses besoins, également ses intuitions, pour pouvoir vraiment manger et faire ce qu’il faut au bon moment. Comme nous avons également des instincts, le corps sait avant nous, avant notre cerveau ce qu’il a besoin.

Manger équilibré ou suivre ses instincts ?

Manger équilibré ou suivre ses instincts ?

Imaginons qu’on nous propose de manger par exemple une banane, on la regarde, on la sent, et on n’en a pas envie. C’est simplement peut-être que le corps n’en a pas besoin, ou en tout cas, qu’il n’a pas besoin de ce que contient la banane.

Si par contre on est attiré imaginons par une pomme, c’est certainement que le corps a besoin de ce que la pomme contient. Et ça, ce sont simplement nos instincts, qu’il soit intuitifs, visuels, olfactifs, gustatifs ou même kinestésistes, c’est-à-dire, avec le touché.

Au final, manger équilibré c’est bien, mais manger en apportant au corps ce qu’il a réellement besoin, c’est mieux.

Si vous voulez manger équilibré, il faut retenir simplement que pendant un repas, il faut avoir une portion de glucides, ça peut être des pâtes, ça peut être du riz, ça peut être des patates douces, ça peut être des pommes de terre. Ensuite, il faut une portion de protéine, ça peut être de la viande, du poisson, du tofu, des oeufs ou des végétaux riches en protéines.

Pour manger équilibré, il faut également une portion de liquide, qu’on peut trouver dans le jaune d’oeuf, sinon ça peut être un filet d’huile et pour finir, une portion de micronutriments que l’on va obtenir grâce aux légumes et aux fruits.

L’assiette pour manger équilibré :

On peut dire qu’en moyenne, à peu près 50 % de l’assiette va être des légumes et des fruits, 20 % des protéines, 20 % des glucides et à peu près 10 % de lipides. Encore une fois, ces proportions ne sont qu’une base et vont être différentes suivant notre profil et suivant nos besoins en énergie.

L’idéal étant de garder ce type d’assiette en tête, mais ensuite dans apprendre davantage à propos de l’alimentation pour connaître bien plus de choses et pouvoir adapter son alimentation et ce qu’on aura appris, suivant nos besoins dans son quotidien.

Puisque parfois il est plus intéressant de manger un seul type d’aliment pendant un certain temps, en faisant une monodiète par exemple, ou encore de manger moins le midi, ou peut-être moins le matin, ou peut-être encore de manger moins le soir, suivant ce qui nous convient, puisque nous sommes tous différents.

En complément :

  1. Comment bien manger, ce qu’il faut savoir
  2. Comment être en bonne santé
  3. Prendre rendez-vous