Être heureux est un choix

Nous vivons une époque plus que dramatique où 97% de la population n’est pas heureuse, alors qu’être heureux et ressentir un sentiment de bonheur est un état de base et normalement naturel pour l’homme. Notre société de moins en moins naturelle et en équilibre, perturbe le fonctionnement de l’être humain qui fini par en arriver parfois au point de se suicider pour certain.

N’étant pas la science infuse, j’apporte ici quelques éléments important et qui m’ont personnellement permis de passer d’un état où je ne me sentais pas heureux à un bonheur presque en toutes circonstances.

Être heureux, une question de perception

Étant née dans une famille plus pauvre que riche, mais ne manquante de rien, la croyance d’avoir plus d’argent pour pouvoir être heureux était bien ancrée dans mon esprit. On cherche toujours à l’extérieur la solution à nos problèmes alors que notre extérieur dépend de notre état intérieur.

Ne nous ne le cachons pas, avoir plus d’argent nous facilite très largement la vie (« plus de liberté », confort, satisfaction personnelle, possibilité de créer des choses décuplé, etc.) et peut contribuer à notre bonheur. Je considère personnellement l’argent comme un outil. Et comme un outil, il permet de décupler notre potentiel. Si demain vous voulez créer un hôpital en Afrique, il sera beaucoup plus facile de le faire avec l’argent nécessaire.

En ayant trouvé le bonheur alors que je n’avais même pas de quoi m’acheter à manger, j’ai personnellement compris que le plus important était de trouver bonheur et la joie de vivre dans ce que nous pouvons déjà avoir, même si cela peut être minime (il y a des personnes dans une situation pire que la nôtre).

Nourrir son esprit pour trouver le bonheur

Vous trouver normale de vous nourrir, de manger quand vous avez faim ? Tout le monde trouve normale de se nourrir pour pouvoir vivre. Mais pourquoi 97% de la population ne trouve pas normal de nourrir leur esprit ? Notre esprit à besoin de se nourrir autant que notre corps pour être en harmonie et en vie, ce qui se traduit par un état de joie.

On nourri son esprit par l’accumulation et l’apprentissage de nouvelles informations qui nous intéressent. En lisant des livres, en apprenant des choses, en suivant des formations, en participant à des conférences, en lisant des articles comme vous le faites maintenant.

Avoir le bon Mindset pour être heureux

Bien sûr, notre Mindset (état d’esprit) va influencer aussi notre bonheur, est-on tout le temps penché sur le négatif ou plutôt sur le positif des choses ? Avons-nous de bonnes intentions envers nous-même, envers la vie et les autres ?

Toutes ces questions peuvent paraître banales et pourtant sont très conséquentes. Toutes nos pensées, toutes nos intentions ou notre état d’esprit, qu’ils soient positifs ou négatifs (même pendant de difficiles périodes) va influencer notre bonheur.

Nos pensées sont de l’énergie qui réagissent comme des aimants et attirent à elles leur équivalent. Chaque pensée est une fréquence envoyée qui va attirer à elle une fréquence vibrant la même mesure. Une pensée négative vibre à une fréquence basse et attire à elle une situation négative vibrante sur la même fréquence. À l’inverse, une pensée positive vibre une fréquence haute et attire à elle des circonstances vibrante la même fréquence et donc des situations positives.

Changer son alimentation pour être heureux

Imaginons que vous avez une voiture qui fonctionne au gasoil et que vous y mettez un peu de gasoil mélangé à de l’essence, que ce passe-t’il ? Elle va brouter, peut-être caler, mais en tout cas elle va moins bien fonctionner que si nous lui avions mis seulement du diesel, qui est le bon carburant pour cette voiture.

Notre corps et son fonctionnement peuvent se refléter à cette image de la voiture et son carburant, si nous n’apportons pas le bon carburant à notre corps il ne peut pas fonctionner comme il le faut, tant sur le plan physique que mental et donc dans notre tête.

Un bon carburant pour notre corps est une alimentation riche en nutriment apportant beaucoup d’énergie. Aujourd’hui, notre alimentation moderne et notre connaissance de celle-ci étant tellement amoindris, que nous mangeons des aliments voleur d’énergie qui en plus d’être mauvais pour notre corps vont venir influencer négativement notre mental et notre bonheur.

Le deuxième cerveau, clé du bonheur

Dans notre intestin se trouve des millions de neurones semblables à ceux que nous avons dans notre cerveau. L’intestin est également composé de millions de bactéries indispensable à son bon fonctionnement. Ces neurones sont connectés et reliés par le nerf vague à notre cerveau et l’influence. En présence d’une nourriture qui n’est pas adaptée à notre organisme, l’intestin, ses neurones et ses bactéries vont directement en être impacté et vont directement venir envoyer au cerveau de mauvaises données grâce au nerf vague qui les relie.

On peut littéralement dire que nous allons avoir des idées de merde (humour). De plus, on pense souvent savoir ce qui est bon ou pas pour nous au niveau alimentaire, sans jamais avoir pris la peine d’apprendre véritablement.

L’intestin est également celui qui produit à plus de 70% une hormone appelée « sérotonine », cette hormone est souvent appelé « l’hormone du bonheur », car elle procure du bien-être quand celle-ci est produite. Comment en produire si la nourriture apportée n’est pas favorable à son développement ? Moins cette hormone est produite, plus nous nous sentons mal, agressif et dépressif…

Également, des études ont révélé que les maladies dégénératives (Parkinson, Alzheimer…) étaient le résultat d’une accumulation de protéine appelé amyloïdes qui s’accumulaient dans le cerveau. Et devinez où les scientifiques ont retrouvait ces protéines ? Vous avez deviné, dans l’intestin…

Ils en ont ensuite conclu que chez certains patients, ces protéines pouvaient être présente 10 ans avant qu’elles ne finissent par se reproduire dans le cerveau et provoquent une maladie dégénérative.

Deux études très intéressantes pour être heureux

1. Une étude en psychiatrie sur des schizophrènes à montré qu’en enlevant le gluten de l’alimentation de personnes atteintes de schizophrénie, ils étaient soignés ! (voir ce livre)
2. Dans une prison en Angleterre, une section de prisonnier à était mis à une consommation d’aliments uniquement biologique pendant un certain temps. Résultat ? Ils ont baissaient le taux de criminalité de 40% !

Conclusion :

Quand on dit qu’être heureux est un choix, c’est bien la une vérité, car personne ne pourra venir faire le travail à notre place, personne ne pourra prendre l’initiative à notre place de nourrir notre esprit chaque jour ou de nous faire changer notre alimentation.